La mort de la mort. Numéro 11. Janvier 2010.

Serait-il absurde, maintenant, de supposer que ce perfectionnement de l’espèce humaine doit être regardé comme susceptible d’un progrès indéfini, qu’il doit arriver un temps où la mort ne serait plus que l’effet, ou d’accidents extraordinaires, ou de la destruction de plus en plus lente des forces vitales, et qu’enfin la durée de l’intervalle moyen entre la naissance et cette destruction n’a elle-même aucun terme assignable?
Marquis de Condorcet, 1795.

 


Thème du mois: Une vie beaucoup plus longue dans un environnement durable


La transformation la plus radicale et la plus violente de l’environnement qui n’ait jamais été effectuée par l’être humain est la maîtrise du feu. C’est il y a plus de 400.000 ans que pour la première fois, les ancêtres de l’homo sapiens se sont détachés totalement du fonctionnement « naturel » des autres espèces vivantes. Continue reading La mort de la mort. Numéro 11. Janvier 2010.